Sur le bord de l'eau

Une légère brise caressait le visage rayonnant d’Alexandre Toulouse. Ce jeune homme d’origine française, qui était venu à New York pour études et carrière. Il habitait le 102 rue Almaire, tout près d’un appartement remplie de jolie jeune femme de son âge.

Cet après-midi, il était venu à la plage qui pourrait peut-être lui donner inspiration. Sa guitare en main, il parcourait le tapis sablonneux jusqu’à ce qu’il trouve refuge en dessous d’un parasol inoccupé.
Accordant sa guitare, il regardait les vagues d’eau mourir tout près de ses pieds. Il mit de côté son instrument puis sortit papier et crayons.

Il regarda autour de lui. Les enfants couraient de droite à gauche, les jeunes femmes célibataires essayaient de se faire voir par les hommes libres. Les hommes montraient leur virilité au femme intéresser et intéressante. Les parents de famille couraient après leurs enfants qui allaient trop loin.

Ces situations firent sourire Alexandre qui n’avait aucun de ces problèmes. Le destin semblait l’aimer puisque depuis son enfance, il vivait des choses bien. Malgré qu’une présence féminine manquait durement dans sa vie. Cette présence douce, chaleureuse et attentionnée. Alexandre dût s’avouer qu’il rêve d’une jeune femme auprès de lui dans son lit. La vie ne lui avait pas encore offert ce cadeau mais il espérait que ce sera pour bientôt, il se sentait près à s’embarquer dans une relation de couple basé sur des faits réels et non juste pour une nuit.

Enfin, ne trouvant aucune inspiration, Alexandre rangea papier et crayon puis ressorti sa fidèle guitare qu’il a depuis son adolescence. Il gratta tranquillement sa guitare quand il fut inspiré à chanter une chanson qu’il aimait beaucoup car elle était très sentimentale et contrairement aux autres chansons, elle racontait de vraie chose.


- Je suis là, me voilà
Jamais je ne pourrai vivre sans toi
Me voilà, à tes côtés
Ce soir j’ai le droit de rêver

Un nouveau monde
Une nouvelle vie
Nos deux cœurs batte au rythme de la prairie

Un nouveau jour
Une nouvelle joie
Je n’attendais que toi
Me voilà…

Nous voilà et tout commence
J’attends depuis longtemps ce jour de chance
Oui, nous voilà toujours ensemble
Ici sur la terre qui nous ressemble

Un nouveau monde
Une nouvelle vie
Nos deux cœurs batte au rythme de la prairie

Un nouveau jour
Une nouvelle joie
Je n’attendais que toi
Me voilà…

Je suis là, me voilà
Jamais je ne pourrai vivre sans toi
Me voilà, à tes côtés
Ce soir j’ai le droit de rêver

Un nouveau monde
Une nouvelle vie
Nos deux cœurs batte au rythme de la prairie

Un nouveau jour
Une nouvelle joie
Je n’attendais que toi…

(Je suis là, me voilà de Bryan Adams)

Maria arriva sur la plage.Elle s'avanca vers l'eau encore le sourire au lèvres,regarda l'eau qui luissait.Mais tout d'un coup elle entendit une chanson super belle,elle continua de s'avancer et entendit la chanson de mieux en mieux.Elle vue pas très loin un jeune homme la main a une guitare et il chantait cette fameuse chanson.Son coeur s'émerveilla,il battait de plus en plus fort mais elle n'avait pas pourquoi so coeur battait aussi fort.Elle ne le connaissait pas mais il avait un très grande puissance en lui qui l'attirait comme un aimant.Elle se laissa aller et continua de chanter la chanson...

Un nouveau monde
Une nouvelle vie
Nos deux cœurs batte au rythme de la prairie

Un nouveau jour
Une nouvelle joie
Je n’attendais que toi
Me voilà…


Elle s'assoya a coter de lui.Elle attenda qu'elle minute avant de lui adresser la parole.

-salut je m'appelle Maria,désoler de t'avoir intérompu mais s'étais plus fort que moi, j'adore cette chanson!!

Maria attendit a coter de lui ,et profitais de l'eau et du soleil.

Une voix enchanteresse interrompit ses paroles coulantes, mais ses mains jouaient encore cette mélodie amoureuse. Une femme au teint basané vint s’asseoir à ses côtés. Ses cheveux bruns d’orée volaient au gré de la brise et fouettaient légèrement son visage. Celui-ci respirant d’une beauté céleste resplendissante cet après-midi ensoleillé. Ses yeux d’un brun terre brûler se pose sur lui. Ses lèvres pulpeuses s’entrouvrirent pour laisser passer un flot de mots doux.

Cette jeune déesse se nommait maria. Elle s’était emportée en entendant sa guitare jouant sa chanson favorite. Alexandre rougit et baissa le regard. Comment ce pouvait-il qu’une femme si belle soit intéresser à venir chanter au rythme de sa guitare. Ébranler, il répondit maladroitement en plongeant son regard dans le tiens :

- Je me nomme Alexandre, enchanté de faire votre connaissance.

Il lui pris sa main, si douce, comme du satin, légère comme de la soie et effleura sa peau à l’aide de ses lèvres. Il lui rendit délicatement cette partie de son corps qu’elle chérissait sûrement en rougissant encore plus que tout à l’heure car il n’en revenait de pas de ce qu’il venait de faire. Embarrassé il sourit, puis reprit en main sa guitare. Il joua l’air Ain’t no Sunshine écrit par Bill Withers, cette chanson l’encouragea à parler et il se sentit vite plus à l’aise.

- Vous n’êtes pas la seule à chérir cette chanson. Pendant plusieurs années elle m’a permis de passer au travers de l’adolescence, cette phase de la vie que nous haïssons tous d’une manière ou d’une autre.

Un sourire apparue sur ses lèvres rosé, ce souvenant de ce moment de sa vie plutôt mouvementé.

- J’adore la musique, elle est signe de liberté et de calme, parfois même elle nous emballe et nous pousse à danser. Ce pouvoir a toujours piqué ma curiosité depuis mon tout jeune âge. Maintenant que je sais ce que peut me procurer la musique, j’essaie de montrer aux autres qu’est-ce qu’elle pourrait leur procurer. C’est ma façon à moi de mettre un peu de soleil dans la vie des gens. Je viens de France, j’ai emménagé en Amérique car je voulais suivre le meilleur cours de communication qu’on puisse avoir en cette terre. C’est comme cela que je me suis retrouvé ici. Même si ma vie a été bien, je m’ennuie beaucoup de la ferme familiale où j’habitais. Surtout les chevaux. C’est magnifique ce que ces simples bêtes peuvent faire, ils font partis de ma vie et je me sens un peu délaissé par eu. Après avoir fini ce que j’ai à finir ici, je retournerai en France, j’aurai ma ferme à moi, ma femme, mes enfants et mes chevaux, sans oubliés ma guitare et la musique. Bon assez parler de moi, parler donc un peu de vous. Qu’elle est la raison de votre présence dans cette mégalopole? Une si jolie femme comme vous ne devrais pas être entouré de gens qui ne vous respect point.

Il avait cessé de jouer et écouta attentivement les paroles de la jeune femme en esseyant de ne pas trop être absorbé par sa beauté.

Maria qui profitais de la légère brise et du soleil qui plongeait dans sont corps, tout en écoutent un jeune homme un peu timide et mystérieux chanter sa vie. Entraîner par sa voix mélodieuse, Maria répondit a la question qu’il lui avait poser il y a une dizaine de seconde.

-À vrai dire je n’ai pas eu une vie tellement extraordinaire malgré certaine apparence. Je déménageais à tous les ans et absence complète de parents et d’amour!
Mais beaucoup de gens m’envie d’avoir eu la chance de voyager et j'avoue être chanceuse mais moi je trouve ça comme une façon de perdre a toute les fois ma maison, mes amies, mes rêves…Dans chaque ville j’y restait une ans ou un peu moins . Je suis consciente de la chance d’avoir pu voyager mais perdre mes espoirs était encore trop dure.

Maria se sentait étrange mais bien en même temps, elle se confiait à une personne donc elle connaît a peine le nom mais on dirait qu’elle ne pouvait faire autrement. Elle avait jamais ressentis ça, une écoute total!

Elle le regardait dans les yeux, il était tellement profond que pendant quelques minutes elle les regardait Puis repris la parole

-Un beau jour j’ai décider de prendre ma vie en mains et d’accomplir mes rêves alors ses pour ça que je suis ici pour pouvoir devenir mannequins. Mais mes parent sont en total désaccord donc depuis mon arrivé il ne mon pas reparler.

Maria se couchis a coté d’Alexandre et regardait le soleil. Elle commença à avoir quelque larmes a cause des paroles qu’elle disait qui sortait comme un canon sans interruption.
Mais pour ne pas le montrer elle se tourna légèrement la tête du côté opposé d’Alexandre et enleva toute trace de larmes. Puis se retourna et continua de le regarder.
Elle se snetais bien et unique une moment très intense.

En Entendant c’est paroles profondes, même blessante, Alexandre ressentit une énorme désolation vis à vis cette jeune demoiselle à peine connue.
Notre enfance est la période qui nous marque le plus dans notre vie. Même si les souvenirs s’effacent parfois, les sentiments et ce qu’on y a vécu reste accroché à notre peau. C’est pour cela qu’un enfant devrait être élevé dans un milieu civilisé et rempli d’amour. Même pendant le parcours de l’adolescence, celui-ci étant le plus rude.
Ceci dit, Alexandre sentait le manque d’attention que cette femme n’a pu avoir. Même si plusieurs personnes lui cracheraient en plein visage des mots disant qu’elle qu’une enfant gâté, rien ne pourra effacer la douleur de ce manque de chaleur paternel et maternel.

Alexandre avait aussi remarqué que la beauté céleste avait bien fait de partir dans cette ville pour vivre ses rêves. Il ne savait pas son âge exact, et n’avait pas eu l’indélicatesse de lui demander, mais savait qu’elle avait sûrement l’âge de voler de ses propres ailes. Elle devait un jour ou l’autre partir loin du nid familial qui semblait probablement plus douillet que l’on avait pensé après que l’on soit parti.

Il vit aussi que la jeune femme évita quelque instant le regard d’Alexandre pour regarder ailleurs. Sûrement que ses paroles la firent partir vers un monde extérieur. Elle dirigea finalement ses yeux vers les tiens. Alexandre vit la tristesse, le désespoir et même un léger cri de détresse dans ses yeux si doux. Pour lui redonner courage il lui prit la main. Il ne savait pas d’où provenait ce soudain geste de consolation de sa part, mais elle faisait sûrement du bien à son interlocutrice. Il lui sourit puis, pour lui changer les idées, lui demanda ceci :

- Me feriez l’honneur gente demoiselle de faire le tour de cette plage pour pouvoir admirer ce paysage? Je vois en vous que vous mourrez d’envie de mieux connaître ce petit coin de pays en ma compagnie.

Il se leva, serra ses effets, puis tendit une main vers la déesse divine. Quand celle-ci fut debout, Alexandre lui offrit son bras, qu’elle n’hésita point à prendre.

Pour commencer Alexandre lui montra le petit quai beaucoup plus loin de l’endroit où ils étaient. C’était là qu’il aimait se rendre pour se tremper les pieds dans l’eau, les premiers temps où était arriver à New York. C’était aussi, ici qu’il a eu son inspiration pour son poème, les vagues de la vie.
Ils avancèrent, toujours accrocher l’un à l’autre comme s’ils se dépendaient. Leurs regards se croisaient, se sentait gêner et se détournaient. Leurs joues devenaient rouges, et leurs lèvres s’étiraient. Alexandre voyait en cette femme un petit quelque chose de charmeur, mais il y avait toujours son côté nanti qui ressortait et restait imprégné dans ses vêtements et son corps.
Il lui sourit et effaça cette pensée peut convenable, il plongea son regard dans celui de la jeune demoiselle qui part le soleil couchant était illuminer d’une lumière rosé.

Puisque l’astre allait se coucher sur le lit d’eau, Alexandre accompagné de la gente féminine, s’assit sur le petit quai, qu’ils avaient tout à l’heure dépassé. Il regarda sa montre et il était déjà l’heure qu’il la quitte car s’il voulait avoir le temps de se préparer pour sa rencontre du lendemain, il devait avoir fini toutes ses paperasses et tout le reste.

- Chère Maria, je suis désoler mais il est le temps pour moi de vous quittez. J’ai été très heureux de vous avoir rencontrer et j’espère qu’il est de même pour vous. Enfin si cela vous intéresse j’aimerais bien un jour pouvoir sortir dans un petit restaurant où nous pourrions discutez autour d’un bonne assiette. Tenez, je vous laisse ceci.

Il sortit papier et crayon et y inscrivit dessus son numéro de téléphone pour enfin le donner à la jeune dame. Il la raccompagna et la laissa sur un « Bon soir et bonne nuit! » tout en lui envoyant la main. Il prit le chemin pour rentrer chez lui qui était tout près de l’appartement de Maria tout en pensant à cette merveilleuse compagnie qu’il avait cette journée là, ce qui lui donna inspiration.

Après cette belle promenade qu’elle venait de faire au bras d’un élégant jeune homme aussi séduisant que remarquable. Elle était comblée, le ciel devint un peu rosé et magnifique. Ils se regardèrent et continua a marcher sur la plage mais Alexandre du partir pour finir qu’elle que paperasse. Mais avant qu’il parte il lui donnit son numéro de téléphone et lui dit qu’il avait passer une agréable journée et qu’il aimerait la revoir. Maria étais très contente car elle aussi voulait le revoir … Avant qu’il parte elle lui dit

-Chez moi ce soir il y aura un petit party pour Noël, j’espère que j’aurai la chance de vous y voir. Ce sera un deuxième rendez-vous !
Et oui j’oubliais sa se passe au 217 rue almaire. A plus tard!!

Sur ce Maria le vu quitter la plage pour se rendre chez lui. Maria prit son sac et commencèrent a s’engacher sur la rue Almaire…