Rencontre avec Jenni

Émilie de retour depuis une semaine, n’avait pas été travaillé, elle restait dans son appartement à faire retourné dans sa tête tout les moments ou elle et son amour avait vue le jour à un bel amour.

Elle devait obligatoirement sortir pour aller chercher à manger, et s’arrêtait devant le cabinet… Les bras chargé elle regardait cet endroit, comme une salle de torture humaine. Elle pouvait entendre les cris de pleure des personnes à l’intérieur. Elle savait aussi que se genre de personne, quelques uns, n’avait fait qu’un cabinet pour plumé les pauvres personnes en désespoir. Cette personne qui fessait la consultation dans se cabinet était il aussi harcelant pour faire croire au femme que leur problème était leur mari, ou il était une personne qui écouterais et en sortirait les vrai choses…

De toute manière elle devait retourné travaillé, peut-être si elle fait le suivit avec se docteur et qu’il était un autre de ses ‘’crosseur’’ ambulant, elle aurait un article pour Elle New York et pourrait faire des photos en cachette, avec son dernier gadget sophistiqué.

Elle retourna chez elle et chercha le numéro de téléphone. Elle le fit sur le combiné et entendit les sonneries….

Dringgg… dringgg…. Dringgg

-Bonjour vous avez bien rejoint le cabinet de Jennifer Mckenzie, veuillez laisser votre et votre numéro, je vous rappellerez dans les plus bref délais pour un rendez vous, passer une belle journée…

-Oui bonjour, je m’appelle Émilie Nagase, veuillez me contacter chez moi au 876-877-8787, merci encore.
Sa ne prit que quelques heures que la femme rappelait pour dire à Émilie de se présenté dans l’après midi vers les 15h…

Elle partit dans sa chambre et fit son sac. Elle mit un gros chandail vert avec des fils d’or au travers pour se protéger du froid et un manteau de plume d’oie en plus.

Arrivé encore devant ce satané cabinet, les cris retentir, mais était il simplement dans sa tête, ou est ce réelle. Elle poussa la porte et monta les escaliers, elle s’agrippait aux rampes, laissant derrière elle sa peur et ses tourmentes. Elle vit une jeune femme de dos, aux cheveux blond. Se pourrais t’il que se soit elle la psychologue… Elle n’attendit pas que la femme se retourna et toussota…

-Désolé, je suis Miss Nagase… Vous êtes Jennifer Mckenzie?





(hrp)moi ze montre que quand c'est tout écrit ou presque

hrp : hum, le Pat, il désire que je lui prescrives quelques calmants pour son esprit dérangé? ^^

Le temps était long sans patient et Jenny se tournait les pouces ( oui oui, Pat, tu compte pas, niark niark niark Je déconne ^^) Son agenda était plus que souvent vide.

Elle fit le saut lorsque le téléphone sonna. Était-ce un nouveau client ou bien des agencements de recouvrement ??? C'est avec une réelle joie qu'elle entendit enfin la demande d'une âme désespérée demandée son aide. Elle reposa tranquillement le combiner de son téléphone avant de dire :

_ OOOOOOOOOUUUUUUUUUIIIIIIIII!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Mon premier client, yé, je le savais que ca pognerait un jour. Ah ha, qu,est-ce que je t'avais papa! Dans les dents!

Elle décida d'aller fêter ca en allant se prendre un bon chocolat chaud et un beignet au resto du coin avant de voir sa cliente qui passerait un peu plus tard.

Quelques heures plus tard...

Jennifer se retrouvait dans son bureau, après avoir fait un peu le ménage dans son cabinet. Elle se reposait tranquillement dans son fauteuil et regardait le ciel. Encore une demi-heure avant l'arrière de sa première cliente... hum, que pourrait-ellle faire? Elle regarda le laveur de vitrine qui nettoyait le building en faire du sein, à la suite d'un écrasement d'avion il y a de ca quelques jours. Elle se demanda alors combien il pouvait bien y avoir de vitrines sur cet immeuble d'uen vingtaine d'étages et elle commenca à compter. 1,2,3,4,5... 10, 11, 12, .... 123, 124, 125, ... 698, 699, 700...

-Désolé, je suis Miss Nagase… Vous êtes Jennifer Mckenzie?

Jenny se réveilla en sursaut et se retourna vers sa cliente, un tantinet débousollée.

- Oui, bonjour, oui, je suis Jennifer Mckenzie. Enchantée de faire votre connaissance Miss Nagase, ajouta-elle en souriant.

Elle se leva, lui tendit la main et lui montra le fauteuil :

- Aseillez-vous Miss et dites ce qui vous amène.

Alors Émilie était rentrée dans cette place, celle ou elle allait, elle le savait le regretter. Elle se mit à se parler à son intérieur…

-Aller inspire, expire, inspire…

Se fut quand Jennifer lui dit qu’elle pouvait s’assoir, qu’Émilie se rendit compte que la jeune femme la regardait… Émilie s’assit tranquillement et entendit encore Jennifer lui demander de la guider dans son travaille. Émilie regarda tout d’abord les lieux et surtout l’allure de cette femme blonde…

-Je suis ici simplement pour faire le point sur mon moi, et quand je suis revenue de voyage je vous es vue marcher au devant de cet immeuble. À la place d’aller à l’église me repentir, car il n’a pas de vrai emplacement avec mon dieu ici.


Émilie s’était mise à avoir les mains moite, et les laisse se démêler et de les reposé sur la chaise au devant de Jennifer.

Jennifer essayait d'écouter avec attention ce que sa patiente lui disait, mais elle avait quelque peu les esprits embrouillés, puisqu'elle venait tout juste de se réveiller. Le truc de Dieu ici, mais pas ici, oulalalala...

- Une mise au point de votre moi... hum... un voyage, c'est déja un bon début. il y a quelque chose qui vous préoccupe, dites-moi? Dans votre moi, pour que vous ressentez ce quelque chose, ce besoin de mettre les choses au clair, expliquez-moi.

Émilie inspira et expirait avec mal, une boule au creux de sa gorge se fessait de plus en plus lourde, elle se mettait même à lui serrer gravement la gorge, comme si dans son soit simple, la mort lui devait être une idée…

Certes, elle avait pensé pendant toutes ses marches à n’avoir dans sa tête que le vouloir de revoir son doux amour, mais comment reprendre espoirs, quand rien autour d’elle, ne pouvait donner son petit coup de pouce voulu. Que la vie est dure, dirais un jeune adolescent, mais elle, elle était mure, elle savait qu’elle n’irait pas dans la feinte de se laissé mourir par un amoureux déchu.

-Je recherche à savoir qui en moi fait le point, j’ai comme deux personnes en moi, celle qui sait que je suis une femme libre et qui est capable d’avancé, mais aussi celle qui à une crainte et un douloureux présent qui vient de lui tomber sur les épaules…

Cela fait des jours que je suis revenue de voyage, dont dans cet avion j’ai eu les pires mots de cœur de ma vie et dont mes yeux se remplissent de douleur saline. Je ressentais la mort dans tout mes pores, mais se n’étais pas à moi cette mort… Comment arrêtons nous de pensé, quand il n’as que des pensé destructives qui vous hante, quand la seule chose qui vous tienne à cœur c’est de vous retrouver encore une dernière fois dans ses bras, dont celui sont corps est partie si loin, mais son odeur, ses gestes reste si présent en moi…

Allez dites-moi !!

Émilie s’était relevé, les yeux lui débordait de pleure, elle avait perdu son calme habituelle, elle avait été capable de tourné au tour du pot depuis le début, mais s’en était trop. IL FAUT QUE SA SORTE!

**aishiteiru,anatahawatashinosubeteda.** Se dit elle en son émoit.

- Un homme... murmurera-t-elle.

Les relations amoureuses, toujours compliqué, parfois déchirant.

- Vous avez au fond de vous une femme qui sait être libre et qui est capable d'avancer. C'est votre coté positif. Déjà, vous êtes sur le chemin de guérison, ou du moins, vous avez une idée de ce que vous devez faire. On n'efface pas de notre mémoire les événements. Est-ce que cette relation est terminée ou elle est en suspens?

Si vous savez qu'en votre fort intérieur, elle est terminée, vous vous devez de faire votre deuil de cette relation. Ce n'est qu'après avoir vécu cette période que vous pourrez revoir le soleil, que vous retrouverez peu à peu votre sens.

Inspirez vous de votre coté femme capable d'avancer.