New York Story
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4 filles et un apart.
 
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 Une nuit...

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Slavicha Mérèse
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Slavicha Mérèse


Nombre de messages : 16
Date d'inscription : 29/10/2006

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MessageSujet: Une nuit...   Une nuit... Icon_minitimeVen 6 Avr - 11:08

Lorsque le vent balayait avec fureur la neige délicate qui se déposait sur New York, une jeune femme se distinguait des autres passants. Elle courait le plus vite qu’elle pouvait. Se sauvant d’un ennemi invisible, celui qui attaquait chaque personne qui avait osé sortir ce soir là. Le vent. Le plus terrible ennemi. Celui qui peut arracher d’un coup une maison. Celui qui a déjà causé beaucoup plus de dommage qu’un être centenaire.

Slavicha suivit de son amie Joëlle, se faufilaient parmi la foule habituelle de la métropole. Le souffle court, où chaque bouffé fraîche leur arrachait les
poumons en feu, elles allèrent s’abriter dans une bâtisse plutôt lugubre dans les quartiers sombres. Dans un couloir les gens les laissaient passé, regardants d’un œil croche Slavicha seule.

Elles avancèrent jusqu’à ce qu’elles entrent dans la chambre 120, là où habitait Joëlle. Une toute petite pièce s’offrait aux deux jeunes femmes. Dans le coin au fond à droite se tenait un matelas à même le plancher possédant des tâches jaunâtres un peu partout, recouvert d’un drap gris très usé. Dans le coin au fond à gauche un petit frigo accompagné d’un comptoir était entreposé puis dans le coin juste à sa gauche se tenaient un mini bibliothèque et une télévision noir et blanc. Une porte à sa droite menait à la miniature salle de bain qui ne contenait qu’une toilette et un lavabo.

Joëlle, plus habité à ces lieux, s’installa sur son lit. Slavicha s’installa juste à ses côtés, trempés jusqu’aux os elles grelottaient. Un énorme coup de vent fit claquer la mini fenêtre juste au dessus d’eu et les filles bondirent puis se prirent dans les bras. Slavicha trouvait bien étrange le fait que Joëlle soit aussi froide qu’un mort. Jamais elle n’avait remarqué ce fait sur sa meilleure amie. Elle passa par-dessus ceci puis lâcha son amie. Elle ouvrit son sac et en sorti un mp3 que Zay lui avait donné il n’y a pas longtemps. Elle passa une oreillette à Joëlle, puis elles s’accotèrent sur le mur, essayant d’oublier le mauvais temps…
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Slavicha Mérèse
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Slavicha Mérèse


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MessageSujet: Re: Une nuit...   Une nuit... Icon_minitimeSam 14 Avr - 19:06

C’est alors que la neige commençait à étouffer tout les bruit qui déchirait le silence. Des pannes d’électricité survinrent dans plusieurs quartiers de l’immensité des humains. Les ténèbres absorbèrent les cauchemars de Slavicha qui se réveilla en sursaut. Ruisselante de sueur, elle était seule. Elle scruta de ses yeux gris les alentours. Elle vit donc une ombre bouger tout près du comptoir. Elle enleva son sac et le mit sur le lit, silencieuse, elle déplia une jambe qui toucha le sol. Avec l’habilité d’un chat, elle se leva et avança tranquillement. Ses pupilles se dilatèrent, absorbant le rien de lumière qui avait dans cette pièce. Seul un jet de cette présence du bien venait du cadre de la porte clos qui menait au couloir. Comment ce faisait-il qu’il y ait de la luminosité dans l’immeuble alors que la pièce sombrait dans le noir?

- Joëlle? Murmura Slavicha d’un souffle.

Aucune réponse ne vint atteindre les oreilles de la jeune folle. Elle réussi à
atteindre la porte, puis elle l’ouvrit d’un coup. La lumière, qu’on ne pourrait
pas dire céleste, mais presque, pulvérisa les ténèbres qui s’enfuient dans
l’ombre des objets. Un homme replier sur lui-même cria au changement trop
brutal qu’il venait de subir. Il se mit une main devant les yeux, ce qui lui
servit de visière. Il était petit et son dos formait une dangereuse courbe. Ses cheveux grisâtres étaient mal cachés par le capuchon qu’il avait mit sur sa tête. Il portait un manteau trop long pour lui d’une couleur noir. Ses mains écorcher de toute par et crasseuse jusqu’en dessous des ongles étaient recouvert de gant qu’il avait coupés un peu n’importe comment. Il siffla entre ses dents jaunâtres et noires :

- Que fais-tu ici petite garce? Allez, vas-t-en de chez moi avant que je te coupe la tête!

- Chez vous…ici, ce n’est pas votre maison, c’est celle à Joëlle! Alors n’essayez pas de me faire croire de fausse histoire! Retournez dans vos égouts le vieux! Répondit Slavicha, défendant sa position.

- Je paie mon loyer chaque mois comme tout le monde, si ça te dit pauvre garce on peut aller voir le proprio. Dit le vieux homme en chargent de nouveau.

- Le propriétaire n’est jamais présent, il est en vacance pour deux semaines! Donc, si vous ne voulez pas avoir du trouble vous devriez partir maintenant avec votre carrosse plein de cannette avant que je vous écorche la gorge. Se défendit Slavicha.

C’est alors que quelqu’un ouvrit la porte de la salle de bain. Joëlle arrêta tout mouvement et puis dit :

- Mais qu’est-ce qui ce passe ici!?!

- C’est ce vieux colon qui s’est introduit chez toi et qui ne veut pas partir!

- À qui vous parlez ? répondit celui-ci.

- En plus il fait semblant de ne pas te voir! Dit Slavicha en regardant l’homme.

- Je ne fait pas semblant, je ne vois personne moi!

- Slavicha, s’il te plait fait le taire. Tu sais bien que c’est chez moi ici, c’est encore un autre qui se croit chez lui et qui est dans la rue. Regarde dans ton sac j’y ai mit un petit cadeau.

Slavicha s’exécuta comme si c’était les ordres d’un haut gradé. Lorsqu’elle atteignit son sac, le vieillard se rua sur elle. Son poids s’écrasant sur le côté de Slavicha, l’a fit vaciller puis tomber sur le lit.

- Qu’est-ce que vous faites? Lâchez-moi vieux pervers!

Elle lança une main à la recherche du cadeau dans le sac. Elle savait ce que ceci signifiait. Joëlle avait sûrement laissé dans son sac quelque chose pour arrêter tout ceci sans dégât. Elle faufila sa main tandis que l’autre
repoussait l’homme au niveau de la gorge. Elle sentit enfin quelque chose qui n’était pas habituellement dans son sac. Elle l’extirpa et le brandit devant l’homme. Une lame brillante pointait sévèrement vers le visage terrifier de la victime…
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