Bureau Administratif(Émilie, toulouse, sont demandé)

se bureau était constitué dans se nouveau batiment frais fait pour ElleUsa, un magazine, vrai, frais et rien de plus féminin. Se qui taquinait les personnes, c'était que la majorité des personnes y travaillant était des hommes, non il n'était pas laids mais bien au contraire ils étaient plutôt croquant.

De toute manière qu'elle femme lissant leur magazine le matin en croquant dans un baguel chaud avec étandue comme une plat de sushi, une tartinade de philadelphia frais. Que la photo au dessus du nom du rédacteur était bien vraiment celui qui vait écrit avec présomptieusité ses douceur et ses fait réelle du monde.

Carlos, anciennement décris la fouine, c'était pris en mains ne recherchant pus que la façon la plus discrète d'aborder des femmes mures et avec un certains talent de séduction....




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Carlos était assis les pieds sur son bureau le regard sur une feuille, et il griffonait. Quand soudain l'idée fut venu, il allait faire voir au femme autour d'eux des trucs des idées déco et culinaire, peut-être que certaine d'entre elle on quelques l,accune au idée bien posé de certain. Il descendit ses pied du bureau e ouvrit son portable, il se mit frénétiquement à écrire rapidement tout en reculant parfois pour effacer sa rapidité nerveuse. Il était en pleine capacité intellectuelle, qu'il s'arrêta quand une personne frappa trois coup sur sa porte...

une jeune femme se préparai devant un grand miroir les fesses confortablement posé sur une chaise duveté de soie. Elle était encore en sous-vêtement pendant le lavage de sa peau après tout se pati manège, elle alla vers sa garde-rob et l'ouvrit complètement. Deux grande porte en miroir coulissante, vers des mur au couleur marrons.

Elle mit une colle roulé blanc, et des pantalons blanc. Elle se chaussa de petit bas blanc , et partie en une volé laissant moissisant son pyjama de soie en plein milieux de la pièces. Elle était déjà en bas, qu'elle prit son sac à mains assortie à son habillement et une paire de petit soulier blanc de sport. Elle prit son atacher caisse et son appareille photo, qu'elle partit vers le park ou elle prit quelques photos, puis elle se dirigea ou sont bon ami Carlos l'attendait pour dans les 11h.

Elle arriva à son bureau ou en grosse d'or Carlos Diliomy et en dessous directeur et reportaire de Elle USA. Elle cogna trois coup au même rythme et même intervalle. Elle secoua ses pantalons et sortit son gloss de son sac à mains avant d'ouvrir la porte que Carlos n'irait jamais ouvrir.

En ouvrant la porte, elle s'exclama:

-Messieur Diliomy, qu'elle belle surprise de vous voir derrière votre bureau a me regarder avec votre air hautain... N'allez vous donc jamais apprendre les bonnes manière...

Elle souffla d'expération et se baissa lentement et surrement attendant qu'il fasse de même, mais il savait surement pas levé du bon pied et toute sa journée en serais déçu. Elle alla donc le rejoindre et ouvrir son attacher-caisse avant que la secrètaire ne vienne en retard lui dire que quelqu'un arrivait. Émilie la regarda et ricana.

-Ne voyez vous pas que je suis déjà la...-Non Miss Nagase, c'est un autre jeune gens qui aimerais parler avec Messieur Diliomy en privé... C'est Messieur Toulouse, dit la jeune secrètaire au cheveux rouge et au nez en trompette.

Émilie regarde Carlos et lui sudgéra:

-Peut-être est il préférable que je reste pour voir vos nouveau arrivant pour qu'il ne salisse pas mes magnifique photographies...

Carlos avait mal dormit et en plus de tout ceci, cette Miss Nagase le narguait depuis le debut de la journée, ne pouvait elle pas parfois disparaitre pour quelques mois. Un bris au coeur se fit après cette pensé de ne plus voir son visage d'asiatique présomtueuse et tellement angélique. Elle était le diable incarné sous une couche de physique angélique.

La secrétaire rentra dans le cubitule, et l'avertie d'un autre envahisseur dont miss Nagase en fut heureuse de voir et narguer, Peut-être allait elle le laisser en paix.

-Envoyez le moi et prenait message de tout mes appels jusqu'à 15h, merci...

En cette journée qui semblait plutôt jolie, dans un simple 2 et demi un jeune homme semblait bien nerveux. Celui-ci étant le calme incarner, courait de droite à gauche cherchant ses paperasse qui trainaient un peu partout. Il devait être déjà entrain de courir vers un taxi pour l'emmener au bureau de monsieur Diliomy qui pourrait bien lui offrir un travaille pour payer ses taxes.

Alex pris rapidement une chemise, se paigna en vitesse puis pris son porte doument. Il courut prendre ses clés et en un éclair il était rendu sur le trottoir sifflant un taxi.

Quelques minutes plus tard il se trouva devant la jolie secrétaire de monsieur Diliomy. Elle l'ammena à son bureau qui semblait bien spacieux. Une jolie jeune femme au trait asiatique était déjà présente. Timide, il avança jusqu'à une chaise libre et salua de la tête peut-être son prochain employeur, en jetant quelque coup d'oeil à la beauté de la femme qui se tenait tout près de lui.

Carlos entendit le bruit incessant des talons de sa secrétaire marteller le sol à un mouvement de hanche pour séduire, il en était maintenant très habitué, mais le fait qu'elle le fasse à un jeune homme qui venait même pas d'avoir la vingtaine quand elle la trentaine, l'avait déjà engrossé deux fois, elle aurais du être moins aguichante. Il ne se leva même pas pour accueillir le jeune homme, lui même ne lui fit pas la politesse d'une poignée de mains moite.

Pour tout dire, il espérait grandement que le jeune homme soit stressé et inquiet de son embauchement. Il attendit que Miss Nagase termine ses représentaille achalant, qu'il s'éclaira la voix pour garder le silence.

Certaine personne de sa connaissance aurai du trouver le silence une porte de sortie, mais Miss Nagase n'était pas de celle-ci.

Quand les pas de la secrètaire revint vers eux, Émilie se leva et partie vers la porte, ne laissant pas rentré la femme au cheveux rouge mais éclatant sa beauté au jeune homme au nombril même pas encore sèche de rentré. Elle referma la porte au nez de la secrètaire, et se tourna vers le jene homme. Elle attendit qu'il s'avance vers Carlos et s'assoie sans même un regard entre eux, ou une poignée de mains décente. Peut-être voyait il tout deux une rivale en devenir de l'un et de l'autre, ou êtes la stupidité de la jeunesse qui rend les personnes mal léché.

De toute manière, elle fit un tour pour regarder sont dos, et sont attaché caisse qui n'était q'un morceau de papier ou d'autre bout blanc pêle mêle se chiffonnait. Elle ne pu se contenir aussi longtemps, et se mit à rire. Carlos baissa les yeux vers son doigts qu'il venait de se faire tâcher par son crayon à encre bleu.

-C'est sa votre recrue Messieur Diliomy... Je n'aurais jamais crut sa de vous, prendre un jeune homme sans expérience et je ne sais pas mais un talent d'écrivains némane pas de lui tout comme vous et l'autre recrue que votre secrétaire m'en à parlé tout en gloussant, comme une colégienne. Je sais aussi qu'il doit arriver d'une minute à l'autre et que vous me l'enverrez pour une scéance de photo j'espère.

Elle se tourna vers Toulouse, car elle avait marcher jusqu'au bureau et se penchait sur Carlos tout en lui espulsant sa demande de voir en tête à tête, l'autre jeune homme.

-Vous Messieur Toulouse, que croyez vous avoir pour être un écrivain et d'avoir la chance d'être parmis cette famille de la ElleUSA?